67, année lysergique : Alexandre Mathis

67, année lysergique : Alexandre Mathis

À la lecture des premières pages du roman, on fait la grimace. Ces points de suspension, ces phrases hachées, quasi parlées (croit-on). Sensation de déjà vu, de déjà lu. Et puis le quartier latin, les beatniks, l’errance psychédélique. Tout le saint... Lire la suite