Il se situe dans la suite de « Suck My Shirt » chez Suicide Squeeze Records. Aussi puissante en studio que sur scène  la musique du groupe - fondé à la suite d’une plaisanterie il y a10 ans - dépote toujours autant. Sa vulgarité ou plutôt son irrévérence permet d’affirmer une présence féminine particulière et curative. Les mâles (fussent-ils punk) n’ont qu’à bien se tenir. Tout pulse, éructe. Des titres tels que "Don’t Touch My Shit", "Nestle In My Boobies" ou “Shut the Fuck Up”par leurs noms même disent tout… Ou presque.

Jean-Paul Gavard-Perret

The Coathangers, « Nosebleed Weekend », Rob’s House Records, 2016.