Quand Badin badine... avec sérieux
La qualité de la poésie de Badin tient à l’intransigeance de son écriture. L’auteur met sobrement en pratique ses célébrations des paysages. Même lorsque la brume persistante s’effiloche, un pan de quelque chose mue. Ce n’est pas si fréquent. Les... Lire la suite
L'Élégance de l'oubli
Avec la candeur de l'orpailleur sur le point de séparer le sable de l'or , Gérard Le Goff fouille, dans sa mémoire et quelques albums de photographies sépia, ses souvenirs de famille et d'enfance, éprouvant la déférence que l'on porte aux tables... Lire la suite
Théo Crassas le débridé
Théo Crassas d'une certaine manière passe à la vitesse supérieure ou se débride. Des arpents mythologiques certes perdurent - ils font en partie la signature du poète - mais un sentiment érotique devient de plus en plus puissant et semble ici ne... Lire la suite
Les rédemptions de Théo Crassas
Parmi les changements de plus en plus rapides qui affectent nos relations sociales, ceux qui concernent le statut de la parole et du langage ne sont pas les moindres. L'écrit prend même (via tweeter, etc.) un statut particulier de novlangue appauvrie.... Lire la suite
Paul Badin : sauver ce qui peut l'être
Paul Badin reprend ici deux textes liés à deux séjours américains parus dans Pureaux (1998). Le poète les a regroupés et beaucoup enrichis. Ce nouveau corpus - en un souffle lyrique jamais hors de propos - met à nu le "comment c'est" qu'a offert... Lire la suite
Paul Badin le mangeur d’espaces
Paul Badin, « Entre Syr et Amou Darya », coll. « Lieu », Encres Vives, Colomiers, 2013, 6,10 E. Paul Badin sait qu’entre les divers temps, les divers pays comme entre le chapeau et les souliers, ça pense comme ça... Lire la suite