5 mars 1944 : décès de Max Jacob
Après de brillantes études, il s'installe à Montmartre de Quimper et y rencontre Modigliani, Braque, Matisse, Apollinaire et Picasso.
C'est en 1916, avec la publication du Cornet à dé, qu'il est reconnu. Il réinvente le poème en prose. Retiré à Saint-Benoît-sur-Loire, il va fréquenter Charles Trenet et poursuivre son oeuvre.
C'est par amitié pour lui que Jean Moulin prend le pseudonyme de Max pour ses activités de résistant.
Il est déclaré officiellement « Poète mort pour la France » le 17 novembre 1960
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