De François Cérésa, Merci qui ? : Le récit d’un phagocytage
Lucky est un cœur pur, même s’il pose sur les autres un regard cynique, il n’aime rien tant que plaire et être adulé. Soirées privées, jet-set infréquentable, grands restaurants, éditeurs prestigieux qui ne valent pas mieux que des marchands de soupe, fashion-week et autre geeks so hype, Lucky, l’écrivain, accumule les erreurs de casting. Quant au renard poudré, il promene son nouveau jouet en laisse jusqu’à plus soif.
François Cérésa, dans une langue truculente qui n’appartient qu’à lui, nous offre une satire amère et drolatique d’un monde vain. Merci l’artiste !
François Cérésa, dans une langue truculente qui n’appartient qu’à lui, nous offre une satire amère et drolatique d’un monde vain. Merci l’artiste !
Stéphanie des Horts
François Cérésa, Merci qui ?, Éditions Écriture, mars 2013, 362 pages, 18,95 €.
Lire la critique de Jacques Aboucaya.
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