Dix bonnes raisons de ne pas lire Pierre Jourde

Il y a des auteurs beaucoup plus rigolos, des valeurs sûres : Marc Levy, Anna Gavalda, Guillaume Musso, etc.

Ou alors, tant qu’à faire dans le littéraire, mieux vaut lire ou relire Conrad, Proust, Vialatte, James, Sebald, etc.

Les phrases sont longues et il y a des mots qu’on ne comprend pas.

C’est vraiment noir, comme atmosphère.

Ça a l’air un peu réac. On dirait que l’auteur se moque de certains aspects du monde moderne, de la banlieue, des paysans, des écrivains, des bourgeois, de la religion, de l’école, de l’éducation des enfants. Ce type n’aime personne et ne respecte rien.

C’est complètement démodé, il est question de vieux mythes de l’antiquité ou du moyen âge, d’âme, de figures christiques, du Mal, il y a des allusions littéraires. Bref, ça a l’air chiant.

C’est tantôt grave, tantôt grotesque. Il y a de la mélancolie et du comique. Il faudrait savoir.

C’est bizarrement construit, on commence une histoire et on part dans un autre. On s’y perd.

C’est quand même trop classique, comme style. Il y a des phrases différentes, la ponctuation et les capitales sont normales et on ne va pas à la ligne tout le temps. Où est l’invention ?

Il y a des histoires pas très claires qui courent sur l’auteur.

Libres propos de Pierre Jourde

Sur le même thème

Aucun commentaire pour ce contenu.