Dix bonnes raisons de na pas lire "Le Pacte des assassins" d'Anne Beddingfeld
L’héroïne adore Britney Spears, qui est vraiment trop démodée maintenant qu’il y a Rihanna.
Elle ne pense qu’à désobéir, alors qu’à son âge elle devrait encore écouter les adultes.
Elle se goinfre de beurre de cacahuètes, ce qui fait grossir et donne des boutons.
Il y a des flashcodes dans le livre, et on ne comprend rien.
L’héroïne est super-calée en histoire, une matière ennuyeuse et qui ne sert à rien.
Le héros qui s’appelle Esaü (drôle de prénom) ne dit jamais aucun gros mot, et on n’y croit pas une seconde.
Il y a des scènes violentes, et un professeur finit la tête dans un distributeur de boissons, ce qui n’est pas politiquement correct
Une école d’assassins, c’est encore moins vraisemblable qu’une école de magiciens.
On sait même pas qui est l’auteur, soi-disant un agent d’Europol qui vit clandestinement.
Et en plus, il paraît qu’il va y avoir une suite qui se passe à Rome…
Anne Beddingfeld
pour le Salon littéraire
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