Ceux des aimés que la Vie exila...

Une fois passés, comme on aime à dire par ici en Provence, il est des poètes, des peintres et des écrivains, des artistes en tout genre à vrai dire, à qui il convient de tenir compagnie car le temps n'est alors, dame, trop souvent plus rien d'autre pour eux qu'une sorte d'absurde salle d'attente – quoique j'aie eu entendu parler de purificatoire – dans l'espoir de nouveaux publics...
Aussi, pour ma part, je tiens, comme ici ou là à ma façon, un peu la main à plusieurs à la fois, qui, depuis des décennies, sont toutes et tous très chers à mon cœur et à mon esprit, présences ! Cela me semble donc tout naturellement dû à chacun, à chacune en retour – On ne perd pas son temps en écoutant son cœur –, en gage d'amitié toujours vive et d'admiration itou !
Toi tu les mènes,
André Lombard
Un p'tit dernier, pour la route !
1 commentaire
Cher André,
Vous les accompagnez avec tellement de sensibilité pour qu'on ne les oublie pas !
Merci à vous,
Amicalement,
Florence