"Le deuil le plus violent, c'est toujours celui de l'imaginaire" - "Le Voltigeur" de Marc Pondruel

"Le deuil le plus violent, c'est toujours celui de l'imaginaire" - "Le Voltigeur" de Marc Pondruel

"Mes amis, mes amours, mes emmerdes" (Charles Aznavour) La tenation de tout mettre de soi dans un premier roman est toujours la plus grande. Son histoire, ses lectures, ses souvenirs plus ou moins fantasmés. Et quand un homme regarde son passé,... Lire la suite