Chercheuse en pilosité littéraire à l'instar du Prix Virilo.
*Master 2 Lettres
*assistante éditoriale aux éditions du Littéraire
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Le premier homme de Camus : "Recherche du père"
Le précepte socratique du « Connais-toi toi-même », n'est pas animé chez Camus par un souci éthique qui inviterait le personnage principal — fût-il encore vivant — à pratiquer l'examen de conscience, mais il est bien celui d'une quête, comme...
Ecrivains et auteurs Albert Camus
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Hernani entre ombre et lumière
Dès son enfance, la vie d'Hernani est marquée par la mort de son père. Esseulé au sein d'une société qui brille de « jeunes idiots ! [et de] vieillards débauchés (v.1359), cet orphelin ne peut compter que sur la protection maternelle d'une nature...
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Analyse de L'Éducation sentimentale de Gustave Flaubert : L'Échec sentimental
Toi le moutard, l'ado mal défriché ou le pituite du coin, tu sauras apprécier L’Éducation sentimentale par ton acuité prédisposée à la douleur. En perpétuelle demande quand elle cesse, tu pallieras le manque avec ce roman-fleuve, à l'image de la...
Dernier commentaire Loïc Di Stefano : c'est surtout l'histoire d'une génération, d'un monde qui a déjà été perdu avant même que leur aventure ne commence (voir l'épisode de la Turque), et celui, donc, de l'échec de vies qui ne sont...
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Entretien de François Xavier sur L'irréparable
L'irréparable , dernier livre-poème de François Xavier.... à découvrir. L'ambiguïté du titre n'en appelle pas à une "rupture" comme l'annonce l'article de Zone critique (voir infra ), mais bien à un pas franchi... un pas inéluctable vers d'autres...
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N'éveillez pas le chat qui dort ! Un polar psychologique grinçant...
« Ne me parle pas de sujets affreux. Il suffit de ne pas parler d’un événement pour qu’il ne se soit jamais produit. […] C’est seulement de les exprimer qui donne aux choses leur réalité », rétorque Dorian Gray au peintre Basil Hallward – pour lequel...
Dernier commentaire : Ça donne envie de le lire! Très bon article parce que rien n'est révélé...
Ecrivains et auteurs Julian Gloag
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Lettre à l'Homo
Je vais éviter de discourir pompeusement pour discourir, d’haranguer des oies pour finalement haranguer des cons androïdés en phase d’obsolescence programmée, (comme nos machines à laver) m’éviter encore de me perdre dans un galimatias sans fond et...
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Notre humanité sera de jaspe et de corail, de souffle et de feu...
Il était une fois un « village merdeux et merdique » où il ne faisait pas bon vivre… les habitants piqués par la mouche tsé-tsé végètent dans leur miasme fiévreux, « fangeux et lubriques », ils attendent secs comme des bois morts, « la queue...
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François Xavier, Là-bas trois fois : l'hymne d'une évasion poétique réussie !
Mais quel plaisir encore une fois de s’abandonner dans le dernier poème de François Xavier (poète lauréat du prix Théophile Gautier de l’Académie française en 1999 ), édité par Jean-Pierre Huguet en janvier 2014 (troisième collaboration après...
Dernier commentaire : Chère Isabelle, votre réponse depuis votre lointaine cabane est vigoureuse et mordante, je ne peux donc résister au plaisir de vous apporter la contradiction! La vigueur de nos échanges? mais...
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Vrouz de Valérie Rouzeau méritait-il un tel prix littéraire ?
Le canal de l’intellection est bouché. Le sismographe des affects demeure inerte. L’encre reste pâle, verdâtre même. On approche des fonds marécageux, on se noie… vite, il faut agir ! Heureusement, la palme du prix Apollinaire 2012 vole au secours de...
Dernier commentaire Virginie Trézières : Et la créativité ... "buffet dînatoire" : expression de Villiers de l'Isle-Adam...
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Ma chère Lise de Vincent Almendros : l'anti-Lolita ?
L’autre est d’autant plus attirant qu’il n’est accessible. Quinze ans, vingt-cinq ans. Une élève. Son professeur particulier. Elle est le dictame de ses jours défilants sans couleurs, il est l’herbe roidie qui ploie peu à peu sous l’effet du...
Dernier commentaire Annabelle Hautecontre : quand il s'agit d'amour doit-on systématiquement s'informer de l'état-civil ? Léo Ferré ne chantait-il pas déjà ce fameux code pénal caché sous la jupe d'une écolière ? quand Jacques Brel...