Récit

Surmonter ses appréhensions ou ses déplaisirs, telle fut ma motivation lorsque j’acquis en librairie le livre de Benjamin Stora. En effet, je déteste les historiens ; je les exècre ; leur jargon et leurs prétentions me sortent par les yeux. C’était... Lire la suite

Avec une poignée de camarades, j'ai mordu dans ce Pain d'étoiles  à pleines dents  à sa première parution en 80, et pour cause : nous étions familiers des lieux et inversement. En effet, de fréquentes randonnées par là-haut nous faisaient souvent –... Lire la suite

Le pain d’étoiles  ! Dites, qu’en dites-vous  ? Quel beau titre, n’est-ce pas, un titre pareil ! Reliant à lui seul en trois mots la terre au ciel il met ainsi d’entrée, illico, l’esprit et la sensibilité pour le moins en grand appétit de lecture !... Lire la suite

C’est évidemment bien peu dire que d’affirmer combien, dieu des chemins et des rencontres en chemin, notre Hermès personnel ne nous quitte pas d’une semelle tout au long de notre parcours terrestre. À la fois il nous y escorte et nous y guide au fil... Lire la suite

Quoique – parce qu'habitant un nid quasiment en pleine nature – je me considère aujourd'hui privilégié, le confinement m'a cependant poussé, comme le plus grand nombre, à activer mon temps libre par le biais de choses inhabituelles : en revisitant un... Lire la suite

Confinement oblige, librairies fermées, je n’ai pas encore pu me procurer L'école du ciel , le dernier ouvrage paru d’Élisabeth Barillé en lequel, je m'en réjouis, l'auteur évoque Aimée Castain , sa forte personnalité, sa vie et son œuvre : Peins ma... Lire la suite

Les Carnets de Guerre du pacifique et pacifiste Lucien Jacques viennent tout juste de paraître par les soins de la méritante Association des Amis de Lucien Jacques  créée en 2004. Je ne peux que signaler cette parution, sans rien en dire, car c'est... Lire la suite

EXTRAIT > Il y a, dans ce roman grave et austère qu’est Le Silence de la mer , sorte de songe pacifiste plein d’une nostalgie rêvée, avec un côté démonstratif, naïf et rousseauiste qui rappelle par moments La Grande Illusion, une scène que je tiens... Lire la suite

EXTRAIT > Préface de Jean-Luc Moreau Frédérick Tristan nous a habitués à n’attendre de lui que des livres singuliers, et même si singuliers que l’étonnement espéré brise chaque fois la paradoxale accoutumance, comme si l’œuvre commençait avec tout... Lire la suite

EXTRAIT > Depuis des mois je redoutais novembre. Dès l’enfance, j’ai toujours entendu dire que la grande faucheuse s’activait en mars ou en novembre, à la suture des saisons, au sortir de l’hiver, à l’approche des mois sombres, où la nuit tombe tôt... Lire la suite