Mehryl Levisse : l’homme objet
Entre les murs, derrière des oripeaux
la vie semble à minima. Dur alors d’espérer un matin du monde. Le soir
n’est jamais loin. Qu’importe : l’être dans la fixité de la photographie
est rendu à sa nature de quasi fantôme et de cendre. Quant au paysage il ne
détourne pas le fini. Au contraire, il le renforce. Reste un recueillement qui
éloigne le mâle de son mythe. Bref Levisse immobilise le temps en sorte que sa
suite ne pourrait être qu’une répétition
Jean-Paul Gavard-Perret
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