La Brute de la Maison Blanche Qui Castagne

La Chute de la Maison Blanche, sortie le 20 mars 2013, (2h 0min) Réalisé par Antoine Fuqua
Avec Gerard Butler, Aaron Eckhart, Morgan Freeman
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Alors, voilà, c'est une délégation de la Corée qui rend visite au Président des États Unis d'Amérique, mon gars. Et, il fait beau dans le ciel. Et, dans le ciel, il y a un avion cargo enfouraillé pour la Dernière Guerre Mondiale. Ceux à bord sont belliqueux. On se demande s'ils ne vont pas attaquer la Maison Blanche.  Rapport au titre, voyez?
Cut. Arrière.
Quelques secondes filmographiques avant, découpées à la hacheuse numérique, le Président des États Unis d'Amérique, il perd sa femme dans un accident sur un pont perdu au milieu de nulle part. Mais, il a un très bon copain. C'est son As des Secret Services avec qui il boxe, tout ça pour bien qu'on comprenne que c'est des supers potes, les deux. Alors le mec qui dirige les Ricains, il tient le coup en serrant les dents. On les voit, les dents.
Et le pro qui n'a pas sauvé la Première Dame, vu qu'il ne vole pas dans les airs, mais c'est pour bientôt, va prouver qu'il est un vrai pro et qu'il en a dans le boxer moulant.
Cut. Avant.
Bon. Tout ça, le cargo, les armes, c'est des Terroristes qui attaquent donc la Maison Blanche et ils sont super motivés et détenteurs des derniers gadgets genre FulguroPoing qui te pulvérisent les Braves P'tits Gars qui pilotent bravement les avions de chasse Ricains.
Après 758 explosions et des cadavres, mon gars, qui renvoient GTA V et Résident Evil au rang de contes pour prépubères, les Terroristes  Coréens, ( pas confondre avec Japonais, ces méchants d'avant ) s’emparent de l'Olympe en 13 minutes.
Si. Ils le disent même, dans le film.
13 minutes.
Autant te dire, que les Coréens du Nord, se sont des acharnés et des méchants. Lâchent rien, les salopards.
Une fois en place, ils chopent le First Président du Monde Libre, et ils mijotent un truc qui va le détruire, le monde libre.  Mais, c'est sans compter sur l'AS des Secret Services. Le pote qui boxe. Lui, il s'invite à la Fête.
Sur un scénario pompé direct sur Die Hard, genre on photocopie, on n' a pas le temps, on a des effets spéciaux de 1990 à refourguer, un film d'action stupide et tire larmes que t'y crois pas tellement c'est con.
Tout le monde s'en fout, Freeman chope deux expressions de jeu, a passé la cinquième et roule à trente. En clair, il finance sa piscine et n'a certainement jamais lu les deux lignes du synopsis. Les autres se foutent sur la gueule dans des couloirs et tu te demandes ce qu'attend le méchant pour tout faire péter. Ben, la fin. Patate. Ah oui.
Long, mais long. Mais long.



So Long.
Cet article est une piètre tentative d' hommage à un magazine avec des journalistes dedans.  Starfix.

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