"Darker than black", le manga après l'anime
Le plus dangereux des contractants, un homme au masque blanc connu sous le nom de BK-201, a détruit le mur immense qui enclavait la zone d’influence de la porte de l’Enfer, en plein Tokyo, et depuis est le criminel le plus recherché. 11 ans après, une chasse à l’homme s’organise à la suite d’un double meurtre qui porte la trace des contractants, avec l’apparition de pissenlits noirs d’origine inconnue… La très charmante Lieutenant Kirihara de la Quatrième section des informations sur les affaires étrangères, dont la fonction est avant tout de cacher à la population l'existence de cet autre monde en interpellant les contractants, va précipiter son groupe sur la piste de BK-201 et de son énigmatique comparse voyante pour mettre à jour une guerre interne aux Contractants ainsi que les activités limites de Pandora, agence de recherche sur les activités paranormales.
Yuji Iwahara centre son histoire sur un mystérieux contractants qui sème la mort parmi la jeunesse désespérée de Tokyo en semant de autant de pissenlits noirs que de cadavres. Cette adaptation en manga de l'univers de Tensai Okamura (la seconde du genre, la première se consacrant à l'avant anime) et les développements qu'elle propose — ainsi que la maestria des traits de Yuji Iwahara, créateur original des personnages de l'anime... — impose d'emblée cette série en quatre tomes comme un événement.
Loïc Di Stefano
Yuji Iwahara, Darker than Black, tome 1/4, ki oon, mars 2014, 208 pages, 7,90 euro
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