Lydie Planas et la "décréation"

Lydie Planas et la "décréation"

À perte de mots Lydie Planas nous convoque au silence de son être qui n'a pas encore vu le jour. En conséquence il ne peut, même s'il en conserve la tentation, ni imaginer un monde, ni faire surgir une présence, si ce n'est son ersatz, son pis-aller... Lire la suite

Lydie Planas : une place vide

Lydie Planas : une place vide

À l'inverse d'Artaud qui - comme l'écrit l'auteure elle-même – parle d'un corps atomisé, empli d'une puissance à broyer le langage, à déverser la souffrance de ses organes concassés, piétinés, macérés, empilés en cette colonne brisée du dire qui... Lire la suite