Polémique et querelle politique ne font jamais bon ménage, or ces temps-ci force est de constater que le clivage entre les pour et les contre ne cesse d’enfler malgré la propagande gouvernementale. Si le ministre de la Santé menace de rendre la vaccination obligatoire pour certains personnels – lesquels sont d’ailleurs les mieux placés pour savoir de quoi il en retourne : le personne médical – il semble bien qu’il y ait un vers dans le fruit. D’ailleurs, l’image était trop belle pour être vraie, comme nous l’a si bien démontré Xavier Bazin, puisque tous les outils de traitement étaient disponibles alors que l’on s’est axé de manière obstinée sur le seul vaccin. Cela pose question, mais officiellement elle est taboue, comme celle du 11-Septembre et tout ce qui contredit la version officielle. Avalez la couleuvre et taisez-vous ! 
Or le docteur Rougier n’a jamais été du côté des moutons bêlants. Formé sur le tas, si j’ose cette triviale formule, c’est-à-dire des meilleurs diplômes du monde entier (France, USA, Chine, Afrique, etc.), ayant parcouru la planète en tout sens pour écouter, comprendre, apprendre les médecines et non LA médecine, passé au MIT de Boston et ouvert à tout ce qui est naturel, il a été l’un des premiers à œuvrer dans la médecine orthomoléculaire, l’acide ribonucléique (ARN) et autre radicaux libres qui lui ont permis de parvenir à des techniques proches du 100% naturelles et de grande performance. Notamment dans le milieu sportif de haut niveau (football, Formule 1, tennis, etc.). Conférencier aux célèbres rencontres de Bichat, fondateur du laboratoire Forté-Pharma, consultant international, il a toujours dit ce qu’il pensait et libéré la parole d’une autre approche de la médecine. 

Ici, il se place du côté de Marie Curie : Rien dans la vie n’est à craindre, tout doit être compris. Ainsi la voie du progrès n’est ni simple ni rapide ; n’est-ce pas monsieur Pfizer ? Un vaccin en moins d’un an ? La bonne blague… Surtout que ce n’est en rien LA solution ; le problème du SARS est bien plus complexe que cela, c’est un ensemble de paramètres qu’il convient de prendre en compte. Il n’y a donc ni médicament miracle ni protocole absolu. Il faut biaiser, mélanger, s’adapter. Comme toujours, et surtout admettre une bonne fois que chaque patient nécessite un traitement particulier ; les généralités ne fonctionnent jamais en médecine, ou alors on fait de l’à-peu-près…  
Ainsi tout traitement doit s’accompagner d’oligoéléments, de micronutriments et de vitamines, et tout symptôme ne doit pas être combattu par effet réflexe : par exemple, la fièvre que l’on attaque avec force chimie aujourd’hui dès les premières heures de l’infection est en réalité un bienfait : elle est un médicament précieux auto-généré par le corps, qui participe à un "effet d’écrasement de la charge virale" ; la combattre est une hérésie…   

Ce livre ouvre donc une troisième voie, entre la chimie totale ou le refus absolu, il y a la possibilité de combiner des pistes d’information pour gagner en confiance et s’aider par les neurosciences : votre immunité s’en trouvera renforcée et donc votre qualité de vie optimisée.  
Un peu comme si un ange gardien vous soufflait à l’oreille, le soir avant de vous endormir : Crois et accepte de toujours pouvoir renaître à la santé du corps et à l’harmonie de l’esprit.  

Rodolphe 

Dr. Yann Rougier & Marie Borrel, Covid-19 – Le premier vaccin c’est vous !, Guy Trédaniel Éditeur, avril 2021, 180 p.-, 16 €