Balle au centre ! (suite et fin)

Voilà qu’en faisant une nouvelle fois du ménage et du remue-ménage dans les fichiers de mon ordinateur je déterre le court billet d’un correspondant et ami dont je n’arrive pas à retrouver la date de publication dans son blog. Date qui, au fond, importe peu, cependant que l’évocation de la mort de Pierre Soulages peut, à quelques jours près, en tenir lieu : octobre 2022.
Cette anecdote aussitôt lue, j’avais dû la mettre en réserve pour la citer un jour ou l'autre ; projetant sans doute par là de m’en servir ainsi de base ou alors d'appui à une éventuelle future page concernant plus spécialement le monde de l’art, ses dérives commerciales et autres : aujourd’hui, le moment en est donc venu puisque, plus qu’en écho, ces quelques lignes pleines de bon sens me paraissent appropriées, venir en heureux accompagnement de ma toute dernière chronique qui, celle-là, est un billet d’humeur : Balle au centre !

André Lombard

                                                              Grandeur et célébrité

Pierre Soulages est passé sur l'autre rive avec tambours et trompettes de la République. Il était un peintre célèbre, était-il aussi un grand peintre ? Les siècles futurs le diront.
Cela me rappelle un souvenir vieux de vingt ans environ. En sortant de l'école de musique de Megève que nos fils fréquentaient, nous longions une galerie de peinture dont la vitrine mettait en avant le nom de Bernard Buffet et Vincent m'a demandé qui il était.
Un grand peintre, ai-je répondu. Non, un peintre célèbre, a corrigé un passant plus averti !   E B-F

 

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