Jules Vilpado et les fagots cités

Vipaldo sauve la souveraineté de la poésie. Son domaine est le bon là où tout est de bois Il développe le déroulé de labyrinthes de buches afin de ce qui n'est pas jamais. Mais il risque d'oser des parts de tours de reins.
C’est sa poésie à coup de hache. Sublime. Mais Vipaldo pratique plus par désir intellectuel d’expérimenter son art de la vie qui ne lui échappe jamais toujours.
Il révèle l'union imaginée mais affine le partage de la séparation des essences et certains sens. Car c'est ainsi que se réfléchissent tout ce qui est leur humeur ou sève vitale, le désir et la sexualité en introduisant la réconciliation et le respect. En écho sa poésie porte des clairières  mentales ou physiques qui finalement trouvent des fagots pour les dire.

Jean-Paul Gavard-Perret

Jules Vipaldo, Pour qui sonne le Douglas, Éditions Dernier Télégramme, décembre 2023, 60 p.-, 12€

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