Roland Sénéca : l'envers et l'endroit
Roland Sénéca ne cherche jamais l’aigreur de l’obscur. Les corps ou leurs fragments barattés de boutures nocturnes organisent une circulation plus sanguine (sang d’encre des taches) que vinaigrée par la visée des mots. Chaque texte bâtit de... Lire la suite
Roland Sénéca : la vocation du faire
Mon esprit n’est pas suffisamment philosophique pour analyser l’évolution de la pensée , écrit modestement Sénéca. Mais il prouve le contraire à travers ses dessins. Ils sont des loupes qui grossissent ce qui est diffus tout comme, écrit-il, ce que... Lire la suite
Roland Sénéca contre le déclin du temps
Chez Sénéca entre images et mots les corps sont autant disloqués que disposés en cœur dans la région où la pensée n’est que panier percé. Les courbent tranchant au noir, dans l’obscur surgit la plénière épaisseur. Le feu se pourra-t-il scellé ? La... Lire la suite