Fabienne Juhel ne publie pas sous son vrai nom, la preuve qu’elle n’écrit pas des histoires très catholiques.

Dans les romans de Fabienne Juhel, on ne sait jamais trop où ni à quelle époque

l’histoire se passe, trop intemporelle, d’ailleurs les personnages n’utilisent jamais de téléphone portable et ils n’ont pas de télévision, comme Fabienne Juhel.

Y a toujours des personnages noirs, pas très équilibrés, versés du côté du Mal, et qui s’en sortent en plus.

Y a toujours, mais faudrait quand même vérifier, des « hormosessuels », c’est secondaire, mais ça peut être gênant.

Fabienne Juhel est bretonne, mais elle n’écrit pas en breton et elle n’est même pas publiée par des éditeurs bretons, et elle n’écrit pas non plus des romans sur le terroir.

Fabienne Juhel qui vit à l’Ouest est proprement à l’Ouest, ce qui lui a valu un passé de cancre, nulle en tout, même en orthographe, et ça prétend écrire des livres

Fabienne Juhel est une obsédée de la Camarde tant et si bien qu’elle a affirmé haut et fort qu’elle vivrait jusqu’à 107 ans pour faire chier les survivants (dont la plupart seront ses anciens élèves), alors que si elle avait la télé, elle saurait qu’il y a au Japon un truc méchant qui se prépare et dix fois plus grave qu’Hiroshima ; alors 107 ans, mon œil !

Fabienne Juhel aime trop les chats, les roux, alors que tout le monde sait qu’on peut juger de la couleur de la peau par celle des poils, qui chez les Égyptiens, les meilleurs philosophes du monde, était d'une si grande conséquence, qu'ils faisaient mourir tous les roux qui leur tombaient entre les mains.

Moi, je dis qu’il faudrait prendre au mot le titre et oublier le roman quelque part dans un bout de lande sauvage, là où personne ne risque de le trouver ni de le lire.

Si c’était pour faire concurrence au site de Bugarach, fallait le dire tout de suite !