Bosco-Giono. À suivre donc !

Un ami venant de me signaler – références à l’appui, mais cependant inaccessible – une page de Bosco à propos de Giono parue en son temps dans Le Figaro littéraire, je n’ai pu que lui répondre sans pouvoir, hélas, satisfaire sa vive curiosité, ni la mienne, donc, par la même occasion. Mais heureusement que d’un mal, n’est-ce pas, peut sortir un bien, comme on dit…
C’est que l’idée m’est dans le même temps venue d’inviter une autre personne amie à se mettre en chasse, sur la piste, et, pourquoi pas, à peut-être bien finalement aboutir.
Mais je suis mal tombé : Bien sûr, le challenge était tentant ! Ça m’aurait bien plu de retrouver l’article, là tout de suite, mais qui aurait donné le dernier coup de fer aux fringues que je vais enfourner dans la valise pour partir demain matin ?
Et comme il s’agit de quelqu'un d'altruiste, lui répugnant de vous abandonner le bec dans l’eau, ne voilà-t-il pas qu’elle en a profité – si je puis dire, après ce que je viens d’en écrire ! – de lester son courriel en retour du fac-simile d’une autre page, datée et signée, d’un Bosco bien loin des piscines vert émeraude et des restos étoilés : à l’écoute au contraire, sur parole, d’une tout autre vie – bien plus extraordinaire et hautement inspirante ! – en ce très cher Luberon !

Maintenant, car connaissant un peu cette intrépide, je ne désespère pas du tout qu'à son retour de voyage culturel à Nohant elle nous déniche alors aussitôt, comme par magie, le fameux article en question : Le poète de la terre et des astres, hommage à Jean Giono, Le Figaro littéraire, 1274, 19-25 octobre 1970, page 16.
À moins que d'ici là, soudain piqué au jeu lui aussi, l'un de nos lecteurs ne la double !
À suivre donc !

André Lombard

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