Revue L'Alpe, numéro 102
Le dernier numéro de L’Alpe – élégante revue des cultures et des patrimoines de l’Europe alpine – vient de paraître. Et il est heureusement consacré aux bienommées Alpes-de-Haute-Provence . Évidemment, quand on est natif du coin et que l’on y a... Lire la suite
Question-réponse avec Claude-Henri Rocquet au sujet de Giono
Cher Claude, quand vous évoquiez dernièrement pour moi au téléphone « cette petite feuille de laurier si importante » au moyen de laquelle Giono, dans la peau de Melville (devenu son personnage !), transfigure le regard d’Adelina White, j’ai compris... Lire la suite
Giono : beaux mensonges et réalité
Dimanche dernier, à la belle foire du petit village d'Ongles, dans le 04, où je baguenaudais sur l'espace dédié aux métiers du livre et de l'écriture, je fis la rencontre inopinée d'un parfait inconnu comme je les aime : engageant directement la... Lire la suite
Giono : Un de Vallorbe !
Sobrement intitulé Vallorbe, cette apparente modeste page, volante, mais détachée d'un carnet, est pourtant, jusqu’à nouvel ordre, le premier manuscrit littéraire connu de Giono. D’où sort-elle ? Certainement pas d'un chapeau ou d'un foulard noué... Lire la suite
Rencontres Giono 2023
Il y a des gens qui, je crois, ne se libèrent jamais de leurs études et qui – d'ailleurs souvent devenus professeurs ou maître de conférence – continuent donc, sans parfois même s'en rendre vraiment compte, à penser et à écrire, tête baissée, en... Lire la suite
Les cigales de Jean Giono...
Se voulant pourtant enchanteurs, combien d’articles, éditoriaux ou reportages aussi stupides qu’insipides ne nous ont-ils pas déjà seriné, commençant tous à peu près ainsi : Au pays de Jean Giono où le chant des cigales… En voilà donc un de plus me... Lire la suite
Giono, depuis quand êtes-vous écrivain ?
L’écriture d’une chronique entraîne parfois à en écrire une autre, ou même, ça arrive, plusieurs à la file ; c’est mon cas en ce moment concernant Giono. Dans Le poète de la terre et des astres , un texte pourtant d’hommage écrit et publié dans la... Lire la suite
Bosco-Giono – la suite
C'est notre ami Jacques Ibanès qui, toujours prompt à réagir – merci à lui ! – écrit ce matin d'enthousiasme : Mon cher André, voici l'article en question. Je me souviens encore du moment où je l'ai lu la première fois. J'étais à Paris, Giono venait... Lire la suite
Bosco-Giono. À suivre donc !
Un ami venant de me signaler – références à l’appui, mais cependant inaccessible – une page de Bosco à propos de Giono parue en son temps dans Le Figaro littéraire , je n’ai pu que lui répondre sans pouvoir, hélas, satisfaire sa vive curiosité, ni la... Lire la suite
Giono, le doigt dans l'œil ! (suite)
Dans un article intitulé Giono, le doigt dans l’œil ! , je citais de lui cette phrase délibérément imbécile, autant que présomptueuse : Je considèrerai que le provençal est une langue quand je verrai un traité de géométrie en provençal, ou un traité... Lire la suite
L'humble Lucien Jacques et son ami Giono. Billet d'humeur
Si, du point de vue de son œuvre, Giono doit beaucoup à son très cher ami et sourcier Lucien Jacques – surtout, c'est connu et leur correspondance en témoigne, en ce qui concerne l'écriture et la mise au point, jusqu'aux portes de l'édition, de ses... Lire la suite
Fiorio-Giono : sous l'étoile à cinq branches...
Quand, au cours des premières années trente, je descendais chaque hiver de mes sombres montagnes hautes savoyardes pour passer quelques jours de vacances à Manosque chez Giono, nous avions coutume, pour bien commencer la journée et ainsi... Lire la suite
Giono : parution de la Lettre aux paysans sur la pauvreté et la paix traduite en japonais
Bonjour cher dd, grâce à ton aide puissante, je viens de publier ma traduction de la Lettre aux paysans de Giono. Alors, bien sûr, je t'en ai aussitôt adressé un exemplaire, qui est hélas retourné chez moi il y a trois jours, accompagné d'une... Lire la suite
Les Temps Passats de Joan-Ives Roier
Acheté en tontine, le moulin de Giono au Contadour est donc revenu, comme initialement convenu devant notaire, au dernier survivant ; à savoir Jean Lescure qui, je ne sais en quelle année, mais encore de son vivant en tout cas, en fit don à... Lire la suite
Giono et la langue provençale : addenda
En regard du mémorable acharnement de Giono à radicalement dénigrer dès et autant que possible la langue provençale, n’est-on pas finalement en droit de se demander si le Prix Nobel reçu en 1904 par Mistral – l’un des deux seuls (avec Isaac Bashevis... Lire la suite
Giono et la langue provençale : aquelo impego !
Dès que, les yeux écarquillés, quasi incrédule, j'eus tout récemment pris connaissance de cette affiche, j'ai évidemment aussitôt ressenti quelques piquantes démangeaisons d'écriture ! Et pour cause : après avoir toute sa vie d'écrivain – à la... Lire la suite
Pierre Magnan : dédicace(s) du Pour saluer Giono
Tiens, voilà bien une dédicace qui, vraiment, ne casse pas trois pattes à un canard ! C'est ce que je me suis tout de suite dit à haute voix, la redécouvrant tout à l'heure en furetant de bon matin dans ma bibliothèque. Puis, y ayant réfléchi... Lire la suite
Dans le hors-série 2022 de la Revue Giono
Page 192 de ce recueil de lettres d'Eugène Martel adressées à Giono de 1930 à 1946, on peut lire : N'empêche, je me demande si – en dehors de toute autre hypothèse, comme celle, peut-être, de vouloir par là associer et rallier Martel à la cause... Lire la suite
Journées du patrimoine : zou maï !
Lors des Journées du patrimoine , il est des manifestations qui sonnent clair et juste, au plus juste même. D’autres distraient seulement, d’autres encore n’émettent, hélas, celles-là, que sons de cloches fêlées ; telle, entre autres et par exemple... Lire la suite
À propos d'une réflexion de Giono dans son Journal de l'Occupation
Mon exemplaire de la somme des lettres qu’Eugène Martel adressa à Jean Giono de juillet 30 à février 46 est déjà tout corné, ici et là : tant de choses qu’il lui écrit me touchent, en effet, m’instruisent, parfois aussi m’interrogent ; le plus... Lire la suite