Bosco-Giono – la suite

C'est notre ami Jacques Ibanès  qui, toujours prompt à réagir – merci à lui ! – écrit ce matin d'enthousiasme : Mon cher André, voici l'article en question. Je me souviens encore du moment où je l'ai lu la première fois. J'étais à Paris, Giono venait de mourir et à cette époque Le Figaro (journal qui n'était pas dans mes lectures habituelles !) sortait un numéro hebdomadaire sur la littérature (altra tempora...).
Bises de ma montagne.

Tout le contenu de l'article est à la hauteur de son titre, immense, bien que Bosco y différencie d'entrée – fort justement – les territoires, donc l'esprit des inspirations respectives...
L'admiration pour l'art de son voisin de Manosque n'y est pas entière ; mais comment le serait-elle, quel écrivain pourrait-il être génial pour tous du début à la fin ? Bosco ne semble, en somme, vouloir ne retenir que le Giono provençal et panique, c'est-à-dire celui plus particulièrement en phase avec sa propre cosmogonie et, partant, sa propre littérature.
Quoi qu'il soit, voilà maintenant son bel article !

André Lombard

Article connexe : Giono-Bosco. À suivre donc !

Le poète de la terre et des astres, hommage à Jean Giono, Le Figaro littéraire, 1274, 19-25 octobre 1970, page 16.

 

 

 

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