Titus-Carmel et Monet
Gérard Titus-Carmel se laisse saisir par l'atmosphère de la toile La Pie . Elle devient pour lui une allégorie de la lenteu r, une trêve, un instant de répit au moment où les bruits du monde semble assourdi. Monet ici le révèle en le voilant.... Lire la suite
Gérard Titus-Carmel et l'aventure humaine
Gérard Titus-Carmel offre une anthropologie de la perception dans cette désolante seconde où je me retrouvais soudain rendu biais à moi-même. Dans ce but l'auteur se fait au besoin le capteur du moindre, des petites choses. Celles qu’on oublie... Lire la suite
Gérard Titus-Carmel et le miroir de l'étranger qui est soi-même
Ajours échappe au genre auquel il est sensé appartenir : à savoir le journal intime. Et ce pour une raison majeure : son écriture l'emporte sur la vie. Ou si nous voulons être trop triviaux car approximatifs, le contenant déborde le contenu. ... Lire la suite
Ajours où la quête de vie
Écrire ses mémoires n’est-ce pas trahir la vérité, chambouler les apparences, réinterpréter les souvenirs, recomposer les faits, un peu comme traduire un texte impose forcément une autre lecture ; ainsi Gérard Titus-Carmel se poste-t-il la question de... Lire la suite
Gérard Titus-Carmel en immersion profonde
Le premier texte de G. Titus-Carmel (écrit en 1966) éclaire le demi-siècle de création ultérieure de l'artiste. Dès cette époque le doute est là, il ne quittera plus le créateur. Il sait que le désir de repos et d’oubli ne peut s'habiller qu'avec nos... Lire la suite
Gérard Titus-Carmel : préludes
Le premier texte de G. Titus-Carmel (écrit en 1966) éclaire le demi-siècle de création ultérieure de l'artiste. Dès ce conte l’auteur sonde l’obscurité des êtres que les mots tentent de fracasser. Il pénètre des gouffres pour qu'en jaillisse des... Lire la suite
Salah Stétié et le porteur de feu
Bounoure est entré dans ma vie comme un ange, cet Archange Gabriel de la plus grande fable, et, l’œil voilé et le sourire de la compassion bouddhique aux lèvres, il m’a d’un doigt frémissant d’émotion contenue quoique intense, montré la route : tel... Lire la suite
Gérard-Titus Carmel : steppe par steppe
Gérard Titus-Carmel prouve que si un terrain est vite connu ses seuils ne sont pas évidents à saisir. C’est néanmoins ce qui l’intéresse en ses « Viornes et Lichens » qui forment l’épiderme de la terre et de la création. Epure après... Lire la suite
Yves Bonnefoy & Gérard Titus-Carmel : Chemins ouvrant, passage vers le Beau
Il est parfois difficile pour l’amateur éclairé de parvenir à suivre au plus près le parcours d’un peintre ou d’un poète, que ce soit par le prix des œuvres peintes ou la rareté des livres de bibliophilies, tout aussi onéreux, voire l’indisponibilité... Lire la suite